Dernières réponses |
| ...moi je sais même pas quoi dir la dessus,tellement je trouve ca abuser,alors je dit rien... |
|
| oh non, je ne pense pas que ça ralentira le problème ... mais bon, plus on en parle mieux c'est ! Justement , le tabou ralentirais le problème ! |
|
| de toute facon il fallait bien qu'un jour ca sorte au grand jour. Mais je ne suis pas sure que ca ralentira pour autant le phenomene!!!!!!! |
|
| oui , c'est moins tabou ! |
|
| ben les gens ont moins peur de parler maintenant je pense
Message édité le 20-01-2005 à 23:41:50 par kira |
|
| Pour répondre à Marie-Jo , je dirais que c'est un peu des 2 ! Les chiffres ont augmenté et on en parle plus qu'avant ... enfin , je trouve ! |
|
| 44 %?????? mais c'est horrible!!!! |
|
| c'est une horreur sans nom mais je me demande si effectivement les chiffres ont augmenté ou si c'est seulement parce ue les gens parlent davantage qu'avant |
|
| De plus en plus de viols au sein des familles Pour la troisième année d'affilée, près de 10 400 affaires de viols – soit plus d'un crime déclaré toutes les heures ! – ont été recensées en 2004 sur le territoire par l'ensemble des services de police et de gendarmerie. Par rapport à 1996, où les faits constatés franchissaient à peine la barre des 7 000, les plaintes ont marqué une progression de 44%, signe de violences beaucoup plus souvent dénoncées. Derrière ces chiffres émerge le phénomène inquiétant, et assez méconnu, des violences intrafamiliales : les viols commis dans l'intimité du foyer ont doublé depuis la fin des années 90. Les femmes et les enfants figurent au premier rang des victimes. Dans une note interne du 3 janvier dernier, le ministre de l'Intérieur, Dominique de Villepin, a demandé aux préfets de se mobiliser pour mieux lutter contre ces violences sexuelles en raison de leur «impact majeur sur les fondements de la société». |
|